Ducs, Princesses, Comtes, Baronnes ... se marient entre eux
LES CONSANGUINS
LE VICE EST DANS LES MONARCHIES:
ILS SE MARIENT ANIMALEMENT ENTRE EUX
Il y a des nations chez lesquelles des raisons d’État ou quelque maxime de religion ont demandé qu’une certaine famille fut toujours régnante : telle est aux Indes ou à Londres ou.... la jalousie de sa caste, et la crainte de n’en point descendre. On y a pensé que, pour avoir toujours des princes du sang royal, il fallait prendre les enfants de la sœur aînée du roi.
L'inceste et la royauté: le sacré, l’inceste et la monarchie sont inséparables
« Les Tartares, dit l’Esprit des Lois, qui peuvent épouser leurs filles, n’épousent jamais leurs mères. ». Montesquieu cite un auteur nommé Priscus. Il s’appelait Priscus Panetès. C’était un sophiste qui vivait du temps d’Attila, et qui dit qu’Attila se maria avec sa fille Esca, selon l’usage des Scythes.
Les Perses ont épousé leurs mères,...
... à 5 ans l'on croit au prince charmant et puis la personnalité se précise et ... L'enfant dont son prénom est issu d'un imaginaire incestueux non résolu... Vers 5 ans environ débute celle de l'oedipe. Sans rentrer dans les détails, demandez à une petite fille avec qui elle se mariera plus tard, à cet âge là elle vous répondra «avec mon papa». Alors qu'une année auparavant c'était sa maman l'élue de son coeur. Selon FREUD, l'enfant désire son père, elle cherche à lui plaire, le séduire. Sa mère devient alors la rivale qu'il faut éliminer.
Les Perses ont épousé leurs mères,...
... à 5 ans l'on croit au prince charmant et puis la personnalité se précise et ... L'enfant dont son prénom est issu d'un imaginaire incestueux non résolu... Vers 5 ans environ débute celle de l'oedipe. Sans rentrer dans les détails, demandez à une petite fille avec qui elle se mariera plus tard, à cet âge là elle vous répondra «avec mon papa». Alors qu'une année auparavant c'était sa maman l'élue de son coeur. Selon FREUD, l'enfant désire son père, elle cherche à lui plaire, le séduire. Sa mère devient alors la rivale qu'il faut éliminer.
La prohibition du mariage entre cousins germains a la même origine. que le mariage entre soeurs et frères ou avec des enfants avec l'un de leurs parents. Dans les premiers temps, c’est-à-dire dans les temps saints, dans les âges où le luxe n’était point connu, tous les enfants restaient dans la maison, et s’y établissaient : c’est qu’il ne fallait qu’une maison très petite pour une grande famille. Les enfants des deux frères, ou les cousins germains, étaient regardés et se regardoaent entre eux comme frères. L’éloignement qui était entre les frères et les soeurs pour le mariage, était donc aussi entre les cousins germains.
Si les Égyptiens ont épousé leurs soeurs, ce fut encore un délire de la religion égyptienne, qui consacra ces mariages en l’honneur d’Isis. Comme l’esprit de la religion est de nous porter à faire avec effort des choses grandes et difficiles, il ne faut pas juger qu’une chose soit naturelle, parce qu’une religion fausse l’a consacrée.
Le principe que les mariages entre les pères et les enfants, les frères et les soeurs, sont défendus pour la conservation de la pudeur naturelle dans la maison, servira à nous faire découvrir quels sont les mariages défendus par la loi naturelle, et ceux qui ne peuvent l’être que par la loi civile.
Que les monarchies résolvent leurs complexes d'oedipes
Ils nous ont tant matraqués de leurs milliers de films de guerres, de princes et de princesses qui se marient entre eux: qu'on a fini par croire que c'était normal mais qu'il n'y avait qu'eux qui avaient le droit d'agir ainsi
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